Deuxième visite chez moi.
Toujours ces mêmes foutus papillions, toujours cette belle complicité (enfin, il me semble). On rigole bien, je l'exaspère un peu mais pas trop, je me permets d'être moi-même et ça semble réussi. On se touche davantage, comme par accident, mais on reste comme ça parce que (du moins pour ma part) c'est plutôt agréable.
Plusieurs fois dans la soirée j'aurais pu l'embrasser. Mais je ne l'ai pas fait. J'attends que ça vienne de lui, car, au fond de moi, je suis encore persuadée qu'il se désintéresse totalement de moi... il joue si bien son jeu. (Poker, quand tu nous tient!)
Et voilà la fin de la soirée, il se fait tard et blablabla. Il passe la porte sans m'appocher, sans m'efleurer. Je tremble comme une feuille, mon coeur bat à tout rompre. Je devrais l'approcher, mais je n'en fais rien.
Et ce soir, je ne courrai pas dans la rue. Même si je meurs d'envie de le revoir passer la porte pour qu'on s'enlace et qu'on s'embrasse toute la nuit. Mais non, il a choisi d'attendre, je le ferai aussi... même si je sens que je ne tiendrai plus longtemps.
Quand c'est long, c'est bon? C'est ce qu'on verra!
mardi, mars 28, 2006
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